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|  | Une maison de la ville minoenne en haut de la collineLes fouilles archéologiques - 1998 après. J.C. |  |   
   
  
Aujourd'hui, la remise s'est elle aussi effondrée. Les paysans
l'ont abandonnée.
 
Les archéologues, après avoir fait une recherche de
surface (on marche en étudiant les tessons et les murs que les
pluies mettent à jour) et après avoir lu les notes du
périégète (le voyageur étranger de la
page 5), décident d'ouvrir des
tranchées pour fouiller le site.
  
Travaux
 
On a coupé l'olivier dont les racines abîment les
    ruines.
On a installé un quadrillage (des fils tendus en
    carrés de mêmes dimensions qui permettent la
    localisation des trouvailles).
On a déjà découvert des parties du
    rez-de-chaussée. Deux des vases du magasin ont
    été trouvés à leur place. D'après
    la décoration des vases, les archéologues pourront
    comprendre la chronologie de la maison.
Un ouvrier creuse le remblai devant la porte du
    rez-de-chaussée et découvre le dallage de la rue.
    L'architecte qui tient une planchette en fait le dessin. On peut
    voir les outils de fouille : pelles, pioches, sarcloir et chariot
    pour transporter la terre.
A l'ombre d'un olivier, l'archéologue écrit le journal
    de la fouille.
Sur la table, il a posé les objets découverts, afin de
    les décrire : des vases et des sacs de tessons.
 A côté de lui, il a posé le mortier de la
   page 3 pour le dessiner.
L'archéologue avec l'appareil photo, debout, étudie le
    chantier et, d'après les données des fouilles, imagine
    l'aspect de la maison telle qu'elle était quand elle a
    été construite
   (page 2).
 
Remarques
Dans la crique sont ancrées les barques des pêcheurs
    d'aujourd'hui.
  
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